La première guerre mondiale



U ne vingtaine d'années s'écoulent, et voici maintenant la première guerre mondiale. Personnel dispersé, bâtiments endommagés par les bombardements, notre petit externat va-t-il mourir ? S'il meurt, c'est pour ressusciter plus beau.

E n effet, ici s'arrête l'histoire de l'Externat du Faubourg de Laon, car elle se croise avec celle du Pensionnat de l'Enfant Jésus qui, jusqu'en juillet 1906 accueillait les jeunes filles 48, rue du Barbâtre, étant en même temps l'école normale pour la Marne.










D ès octobre 1906 s'ouvrit alors le Pensionnat Saint-Symphorien, sous la direction de Melle Amet, entourée d'un groupe de religieuses en habits civils, d'abord rue Saint-Symphorien, puis rue du Marc dans l'ancien pensionnat des soeurs de l'Assomption.












A u début de la guerre, après I'incendie de ce pensionnat en septembre 1914, le personnel est évacué d'abord à Ay-Champagne, puis en octobre 1917, à Châteauneuf en Thymerais, dans la magnifique forêt de Dreux.